Dans le tourbillon qu’y met-on ?
Des mots. Des mots et des images qui étincelles les jours, illuminent les nuits.
Diriger le regard sur un détail choisi au grès. On grille les questions. On craque les allumettes une à une. Puis on les regarde, tel cierges magiques, brûler jusqu’au bout.
Emailler l’âme. Epicer le cœur. Orner, broder, jeter la poudre aux yeux. Ainsi le tourbillon se transforme mais jamais ne cesse.
Bois de campêche, ligne de fond, bouts de ficelle, tout est permis. Ce qui compte c'est de goûter l’écume des heures. Humer l’air du temps, raviver les couleurs du présent.
Pailleter le jour et pétiller la nuit. Le boucan du rossignol à six heure du matin trille et vrille à l’infini pour dévoiler l’infime de chaque instant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire